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Le n°1 de la pièce pour voiture sans permis
Un moindre éclat sur votre pare-brise, un pare-choc abimé, une courroie en mauvais état, un pneu presque lisse, des freins en fin de vie et c’est la facture assurée. Évitez la contre-visite en suivant nos conseils !
En 2019, 21% des voitures particulières ont été envoyées en contre-visite après qu'un contrôle technique ait constaté un défaut, c'est-à-dire 1 voiture sur 5 : une augmentation par rapport à 2018.
Le risque de contre-visite augmentera bien sûr avec l'âge du véhicule. Ainsi, près de 30 % des voitures particulières de plus de 10 ans sont réinspectées après un contrôle technique, contre la moitié de celles qui ont entre 7 et 10 ans.
75% des défaillances entraînent des contre visite.
Sur les 133 points inspectés lors du contrôle technique, jusqu'à 652 pannes peuvent en résulter, et 488 soit 75% peuvent entraîner une contre-visite. Ce sont essentiellement les défaillances les plus dangereuses pour la sécurité
Les 488 défauts ayant provoqué des contre-visites ont été répartis en deux catégories selon leur gravité :
359 défaillances majeures (niveau de contrôle technique « S ») nécessitant une visite de retour dans les deux mois ».
129 pannes majeures (visite technique notée « R »), entretien et contre-visite en journée sont imposés par la loi.
En 2019, la grande majorité (95%) des pannes (retour du véhicule pour une visite de retour) concernaient des défectuosités majeures et 5% étaient critiques.
Votre véhicule présente au moins une panne majeure (mais pas de panne critique).
Votre contrôle technique mentionne la mention « S ».
Votre véhicule présente au moins un défaut critique (peut-être aussi un défaut majeur).
Votre contrôle technique mentionne la mention « R »
7,6 % des voitures qui revenaient présentaient une ou plusieurs défaillances fonctionnelles « nuisibles ».
10,5% des véhicules restitués ont eu une ou plusieurs pannes dans les fonctions "feux, réflecteurs et électriques"
11 % des véhicules retournés pour une contre visite présentaient une ou plusieurs défaillances dans les fonctions « Essieu, Roue, Pneu, Suspension ».
Direction des feux de croisement : la direction des feux de croisement ne se situe pas dans la plage spécifiée dans les exigences.
Opacité : L'opacité dépasse la valeur acceptée ou la valeur mesurée est instable
Pneus : les pneus sont gravement endommagés ou ébréchés.
Pneus : L'indicateur d'usure de profondeur de sculpture a été atteint.
Émissions de gaz : les émissions de gaz dépassent les niveaux réglementaires.
Le tarif de contre visite est fixé par chaque centre de contrôle technique. Le prix moyen d'une contre visite est de 14 euros, les tarifs étant très variables d'un centre à l'autre (certains sont gratuits, les plus chers 30 euros, voire plus). Le coût de la facturation dépend également du type de contre visite, car certaines pannes ne nécessitent qu'un contrôle visuel, tandis que d'autres nécessitent un contrôle technique avec une machine, ce qui augmente le coût.
Si votre véhicule passe une contre-visite, c'est que son état justifie la réparation. Ceux-ci peuvent être très peu couteux, mais certains sont très chers. Vous devrez les faire si vous envisagez de conduire à nouveau votre véhicule.
Le véhicule peut apparaître dans un centre de contrôle différent de celui qui effectue les contrôles techniques périodiques. Ensuite, il faut apporter des rapports défavorables pour que le nouveau contrôleur sache ce qu'il doit contrôler.
À la fin de chaque contre visite, l'inspecteur doit vous fournir un rapport de visite de retour et tamponner votre carte d'enregistrement (carte grise). Celui-ci mentionne la lettre A ou S, selon l'anti-visite favorable ou défavorable. Il mentionne également la date d'expiration du contrôle. Si le résultat de la contre-visite est favorable, un autocollant sera apposé sur le pare-brise.